A partir du mois d’octobre AMANE et AIDA ainsi que les associations qui composent le Groupe de Travail de Lutte contre les Violences Sexuelles ont commencé à s’entretenir avec chacun des groupes parlamentaires pour transmettre leurs recommandations en matière de modifications du Code Pénal.
En effet, le GTLVS a présenté un aperçu de la situation actuelle au Maroc à partir des statistiques officielles sur les cas avérés de violences, et a partagé ses soucis et recommandations concernant le changement de terminologie pour permettre que toutes les formes de violence et l’exploitation sexuelle soient compris. Ces propositions sont une manière de lutte contre l’impunité et collaborer dans le développement d’un environnement protecteur pour les enfants. Le GTLVS a aussi demandé une augmentation des peines sur la base de la considération de la violence sexuelle sous toutes ces formes comme un CRIME.